L'Histoire

[Il est ici Impératif de lire l'histoire ci-dessous. De la comprendre et de l'appliquer. S'il y a des questions, merci de les poser à un modérateur ou a un administrateur pas MP.

Note: Prendre note que les histoires respectives de chaque personnage de la première saison de l'Orphelinarium seront bientôt disponible dans un forum des règles.]



Le Monde. 2100.
Une récession longue et étreignante débute en ces sombres jours. Le monde commence déjà à flancher vers une dure crise économique qui fera chavirer l’économie, les richesses et les ressources de tous les pays de cette Terre. Le monde tomba en torpeur léthargique et dangereusement stagnante, une nation après l’autre, pour faire revenir l’humanité des siècles avant l’ère présente.

Le Monde. 2196.
Après près de cent ans de crise, l’économie retrouve une stabilité presque normale. La bourse est perdue, la technologie tombée aux oubliettes et plus personne ne reparlera jamais des guerres froides ou scientifique. Les Hommes sont de retour à la case départ.

Athen. 2196.
Cité forte et diplomatique, portant le dérivé du nom d’une ville depuis fort longtemps perdue dans la poussière. Les habitants vivant en harmonie et les gens s’entraidant pour passer au travers de ces dernières heures difficiles, au moment où ils finissaient d’écoper leurs malheurs, ce sont les autres qui leur déclarèrent la guerre.

L’Antre des Rebelles. 2196.
Fin démocrate et informateur aguerris, un homme du nom de Nicolas Flemming s’enfuit de la cité. Il emmène avec lui une poigné d’enfants d’une petite douzaine d’années. Il a pressentit la guerre, il sent la tension qui monte entre les dirigeants des deux villes depuis déjà quelques mois. Alors fuyant la guerre avec une solide promesse de vengeance, ils partent avec les plus solides adolescents qui étaient partants pour l’aventure. Perdus dans les profondeurs de la forêt, ils s’entraineront pendant cinq ans. Ils reviendront.

Babylonia. 2196.
Des budgets militaires en réserve, une importante armée complètement inactive, un peuple pauvre et soumis, Babylonia porte mal le nom qu’elle avait. Aucune splendeur, aucune fertilité, aucune justice en cette cité dictatoriale. Alors donc, après avoir compris que leur situation risquait d’encore tomber dans ce puits sans fond dont ils venaient à peine de s’échapper, les dirigeants de la grande ville allèrent plutôt faire travailler leur soldat dans la cité voisine. Les Athiens furent décimés.

Les plaines. 2201.
La guerre est terminée. La dernière bataille, l’ultime combat, c’est déroulé dans les plaines. Ces champs fertiles et grisants sont maintenant un désert brûlant de terre aride et morte. Plus rien n’y bouge. Sauf peut-être les Athiens là bas, trainés, enchaînés, martyrisés par ces babylonois qui les emmènent. Ils n’ont tous pas plus que 14 ans. Ce sont des enfants, les seuls rescapés de la guerre. Les seuls survivants pour qui Babylonia, maintenant riche et puissante, a fait construire une imposante cité-annexe. Un énorme orphelinat où entasser tous ces rejetons ennemis : L’Orphelinarium.

L’Orphelinarium. 2205
Ça fait maintenant quatre ans qu’ils sont ici. Certains n’y sont plus, d’autres viennent d’arriver. On trouve encore des orphelins dans les ruines de leur ancienne cité tombée. Et après l’âge de la majorité, ils s’en vont vers Babylonia pour y devenir soldats. Citoyens de leurs ennemis. Mais voilà qu’aux confins des corridors, à l’ombre, dans le silence, une rumeur se présume doucement. Des orphelins ne viennent de nulle part. Sans qu’on les remarque, ils viennent pourtant pour quelque chose. Les rebelles s’insinuent.

L’Antre de Rebelles. 2206
Cinq ans après la guerre. Cinq ans après l’enlèvement des derniers enfants, voilà une seconde tuerie qui s’annonce. Mais cette fois, les rôles sont inversés. Nick Flemming, aux commandes de son armée de rebelles, son armée de survivant, matures et guerriers, s’élance dans les plaines. Droit vers la victoire.

La Cité des Cendres. 2210.
Maintenant. Quatre ans après la seconde guerre. Quatre ans après la victoire définitive des Athiens. Reconstruite sur les ruines d’Athen, la Cité des Cendres abrite tous les orphelins, tous les rebelles, et tous les babylonois rependus. Ici, où les morts innombrables que les batailles ont causées se font encore sentir, où les enfants de l'orphelinat, désormais jeunes adultes, ont réappris à aimer vivre, le peuple est toujours en danger.